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DUALISTES
Écrit le 23 oct 2010 par marie-lise ehret
Pour les copains

Dualistes


Les proverbes sont des ambassadeurs utiles
Dans les cas où, trop sensible de nous-mêmes,
Nous ne trouvons que peu de chose à dire
Pour s’arracher au souci de nous justifier d’être

Quelle étrange chose que l’éclatante propriété
De tant de granges respectables et sages,
Dont les hommes cupides sont si envieux !
La petite dirait, quand je n'avais rien à désirer,
Tout les cents ans c'est le même naufrage,
J’éveillais les forêts et l'air les prés silencieux.

Et possédais mer et terre avec le ciel et des étoiles
Sans cesse désaltérée par les promenades
Ah ! Que nos deux amis allant verbalisant
Porteront encore longtemps au calme !
L’amour appauvire ou l'agonie de l’exhalaison,
La gaieté épanchée ou du caillou terreux, en somme ?

Lui me dit oh ,torpeur que je suis malheureux,
Depuis que j’ai ma vieille demeure, c'est le dédale
Puis enfin ce jardin à mes pas de vieux jours heureux
Je n'ai plus, hélas que ce logis et Dame Nature brutale !

Peut-être qu'en rosbif
ça sonne mieux !


Et l'autre, a oublié passant, semé par vos franges
Moi j'ai la mielleté et la patience gaie des anges ?
Quel chagrin , vous met à la portée d'un coeur au noir,
La campagne rue morose, n'aurai-elle point de roses ?
Allez l'ami, clin d'oeil sourire,
A l'élan de ma main nuitée, je vous donne espoirs !

Ne me dites pas : oh ! Vous, laissez-moi tranquille !
Je vous salue dans la toile à l'horizon d'oubli subtile
Allez bonne soirée !

Et vous mon amis, pourquoi regarderai-je plus bas,
Puisque nous en verrons toujours assis comme autrefois
Délaissés certes, mais d'autres d'orgueil élevé d'ici bas,
Vient à ce chemin tant d' épreuves de croix coupables
L'amour appel la vie et aussi soi, non détournée de la joie,

Tantôt jaloux,envieux, coupable, non , merci pour moi
Mes allées n'étaient point à cette croisée là.
Le criard désespoir ne s'aime pas, pauvres fenêtres,
Puisque tous nous vivons ici, et que tous y disparaîtrons aussi.
L'obssession amer détudes de suaires et sang caillé,
Ondoyant à nos pas sur terre et nos oreillers.

Brave charité, blessée, vidée, les yeux qui baissés
Coposte et amalgame de vie trop chère, payées,
Puisque que tous , nous nous voulons sans laisse
Laissons les courir les allées, sans que nos yeux les blessent.

Et soudain ma panthère au faune vous hurle au vent : amis, tu mens.
Les beautés souffertes, gisantes ici et là, tellement innocientes
A en croire tous les vastes feux, gîtes des secrets d'antan.
Un regard éperdu de Vérité, portant mes propres défaillance

Et je suis, une femme parfois irrassible, ou stupde et franche.
Et que je ne suis pas plus heureuse avant, qu’après la souffrance
Jamais, jamais,

Le sang des femmes, des dames, dans son joli coffret éternel
Mes paires, voyez , vous me ferez mourir de chagrin, vous répondrez, mais mon enfant plus tard, on te reconntra, je sais



Question !

La pierre tombe sur l’œuf, tans pis pour l’œuf
L’œuf tombe sur la pierre, tans pis pour l’œuf

Mais si l’œuf qui ne demandait rien, est jeté par désinvolture
C'est de blessures ataviques pures
Non équitable de Nature.

Allez les amis ?

Bonne journée

Marie-Lise Ehret

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