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L'HOMME PEUT-IL SE FIER A LA SCIENCE?



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L'HOMME PEUT-IL SE FIER A LA SCIENCE?
Écrit le 2 mai 2000 par mouyabi
Au quotidien, on est parfois bombardé par une kyrielle de petites informations ayant un moteur commun, sans pouvoir cerner la source de laquelle elles émanent ni, la nature du moteur qui les émet. Rien de tel qu'un exemple tout simple pour illustrer cette assertion. Nous vivons dans un monde. D’où vient-il ? Qui l’a créé ? Quel est notre rôle dans ce monde ? Ce monde-ci est-il fréquemment visité par des êtres venus d'autres mondes ? Le monde est-il un laboratoire d'expériences extraterrestres ou un simple lieu de vie pour les Hommes ? Le monde est-il un lieu de transit vers d'autres mondes parallèles ? Qui sont les gens qui nous tiennent compagnie pendant notre vie dans ce monde ? Le monde est-il une simple illusion ou, une réalité effective ? Un enfer ou un paradis pour l'Homme ? Existe-t-il d’autres mondes pareils au nôtre dans l'immensité de l'univers ? etc.
Cette liste de questions pourrait être rallongée à l'infini et, démontrer combien nous ignorons l'environnement dans lequel nous vivons. Cette liste de questions pourrait tout aussi bien mettre en évidence le fait que, les questions de fond qui concernent le monde dans lequel nous vivons nous échappent, et ne trouvent pas de réponses évidentes, quand nous prenons le temps de nous les poser. De ce fait, la constatation évidente qui saute aux yeux est que, nous sommes tous les jours confrontés à notre environnement, sans réellement nous poser les questions de fond qui le concernent et sans outre mesure, essayer de trouver les réponses aux questions et aux énigmes qu’il nous pose. S'il nous arrive de nous exprimer parfois à la hâte sur lui, nous découvrons plus tard, lorsque par l'effet magique du temps, la réponse s'impose par elle-même, que notre vision qui jusque là nous semblait être la bonne, ne l’était que, soit en partie, soit à notre grand regret complètement erronée.
Des dilemmes comme ceux là, il en existe une multitude auxquels nous sommes confrontés au quotidien. Ma tâche dans ce qui va suivre ne consiste pas à les répertorier et, à les réunir dans un document et à vous livrer de fait, un questionnaire que vous êtes vous-même capable de constituer et pour lequel je n'ai pas de réponses toutes prêtes et toutes faites. S'exprimer sur Dieu, en est un de ces multiples dilemmes car, sans détenir les éléments suffisants pour le faire, nous nous exprimons sur le sujet en répétant bien souvent des dogmes religieux basés sur la foi que préconise tel ou tel mouvement religieux ou encore, des avis empruntés ici et là devenus les nôtres par la magie du temps. Quelques fois aussi par des avis personnels tirés de notre vécu. Sans avoir malgré tout, aucune certitude sur la question parce que subsistera toujours le doute inhérent à la condition humaine. Au quotidien pourtant, nous sommes interpellés par Dieu dans chaque acte que nous posons ( l'Amour que nous pouvons manifester sous forme de solidarité vis à vis du prochain par exemple), dans notre façon d'être et par notre simple fait d'être (le jour se lève pour nous tous les jours); sans parfois l’appréhender et prendre conscience de la relation privilégiée qui nous lie. Malheureusement, il se trouve que contraint par la force des choses à vivre dans un monde où le cartésianisme est de rigueur, les valeurs non sensibles, échappent à nos impressions premières, ne nous affectent plus ou, ne sont laissées qu'à l'intellect. Quand bien même, nous voulons nous donner l'opportunité de l'exercer sur certaines questions qui nécessitent son recours. De prime à bord il est à se demander, quelle attitude adopter dans une situation comme celle-ci ? Vivre sans engager un processus de questionnement au sujet de Dieu de peur de s'attaquer à ce qui relève du domaine de l'inutile pour certains, du secondaire pour quelques uns et du sacré pour d'autres, ou alors passer outre cet interdit, et se poser des questions d'ordre existentiel liées à Dieu et réunir le peu d’informations que l’on a, pour essayer d'appréhender la situation qui s’impose à nous au quotidien ? Et tenter à notre manière d'apporter un peu d'eau au grand moulin de la connaissance universelle. Bien qu'animés de bonnes intentions, les obligations quotidiennes ne nous laissent pas tellement l'opportunité de pouvoir le faire. Et, parfois même, malgré l'embûche non négligeable que constituent les contraintes sociales, quand on trouve le temps et qu'on se donne les moyens d'entamer une dite démarche, on risque tout simplement de passer pour un illuminé, un mythomane, un potentiel gourou ou encore un schizophrène, aux yeux de ceux qui se contentent de vivre dans la dimension du sensible et qui, accordent tout crédit à la science ou préfèrent porter des œillères par rapport à tout ce qui peut être spirituel, faute de certitudes sur ce sujet. Plusieurs raisons sont à mettre à l'actif de cette attitude sceptique, prudente et bornée. D'abord, la peur du charlatanisme qu'entretiennent, les multiples vendeurs de salut que nous réunissons sous les enseignes : religions ou sectes ; ensuite par la peur du regard d'autrui, du qu'en dira-t-on, puis par la peur de se tromper si on était tenu de faire un choix, ou encore par peur de s'ériger contre la norme familiale ou sociale dans laquelle on baigne, ou en fin, par peur de ceci ou de cela. Et, ce ne sont nullement les raisons qui manquent quand il s'agit de se soustraire à l'intérêt de Dieu et à ses obligations. L'entame d'une telle démarche se heurte surtout aussi, au risque de se prononcer sur un sujet sur lequel, nous n'avons pas assez d'informations tangibles et où, le risque de se tromper, et surtout de tromper ceux qui nous lisent, pour peu qu’ils soient sensibles à notre philosophie ou, qu’ils n’aient pas le recul suffisant pour déceler les failles de notre raisonnement humain, est énorme. Qu'à cela ne tienne ! Peut-on néanmoins faire autrement que s’incliner face au questionnement tant la divinité est présente autour de nous, même lorsque le courage nous manque pour vaincre notre statut d'objet dans la société, et affirmer notre nature divine profonde ? Nonobstant tout ceci, a-t-on le droit par ailleurs, de s'abstenir de toute donnée sous prétexte, qu'on ne possède pas assez d'éléments et surtout suffisamment d’informations pour entamer tout processus de réflexion sérieux et doté de certitudes en ce qui concerne Dieu ? Ladite démarche semble encore utopique, si on établit le difficile constat qui consiste à considérer Dieu comme étant le Tout, pour se rendre compte que tout compte fait, dans une certaine mesure, on n’est qu’une infime partie de ce Tout. Alors la question évidente qui s'impose est de savoir, comment peut-on prétendre analyser le Tout quand on n'en est qu'une infime partie ? Et donc, par le fait même, la perception que l'on peut avoir de ladite réalité ne peut-être de toute évidence que personnelle dans un premier temps. (mais seulement, il faudrait la confronter à un autre point de vue, pour déterminer dans quelle mesure ce point de vue se rapproche de l'éta

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