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La science est une chose la vérité une autre!



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LA SCIENCE EST UNE CHOSE LA VÉRITÉ UNE AUTRE!
Écrit le 17 mai 2000 par mouyabi
Cher monsieur, j'ai pris plaisr à vous lire mais eulemnt je me heurte à quelques eccueils et vous invite à relire ceci ainsi fort de cela, je m'inviterais à vos forums pour discuter des choses et d'autres avec comme objectif de faire progresser nos conscience mutuelles. Toute discussion inutile m'amènerait à arrêter cette enterprise.
Merci de bien vouloir relire. Cependant il n'existe pas de connaissnces tiroire mais unez connaissnce universelle. simplement avec un approche diférente , un langage différent. On utilise bien les mathématique en physique, on puise des théories mathématiques de la bible etc. je n'ai pas dorit de briser votre rêve de scientifdique mais je dis faites attention. Car un jour à quoi servira votre découverte ????



Si vous êtes scientiste demandez-vous avant tout,
comment cela se fait-il, qu'il y ait des scientifiques croyants ?
Demandez-vous si la science répond aux questions d'ordre existentiel telles : le but de la vie,
qu'est-ce que l'âme, l'Homme est-il prédestiné ou pas ? Qu'est-ce que la justice ? Qu'est-ce que la
vie ? Qu'est-ce que la vérité ? etc. Si vous êtes convaincu que oui alors c'est très bien.
Cependant, si on ne peut nier que la science essaie par ses travaux dans le domaine médical de
prolonger l'espérance de vie, par ses découvertes, d'améliorer les conditions de vie de l'Homme
grâce à une de ses branches : la technologie qui réduit l’effort physique pour le remplacer par le
travail de la machine. On se doit de reconnaître par ailleurs qu'en prenant un peu de recul, on se
rend très vite compte que, si elles partent souvent d'intentions louables quelques fois, les
découvertes des scientifiques ne sont pas finies. Elles présentent bien plus souvent des
inconvénients. Prenons un exemple : les médicaments dont le but est de guérir ou de soigner les
maladies, et que nous avalons goulûment pour un mal de tête ou une simple contrariété, présentent
parfois des effets secondaires mais toujours, des effets iatrogènes. D'autres découvertes
scientifiques non freinées par le comité éthique ont des côtés pervers pour la survie de l'espèce
humaine. Il arrive que malgré tout, la science voie plus grand qu'elle ne doit, qu'elle mette parfois en
place, d'ultra structures qu'elle est incapable de contrôler après coup. Elle souhaite sans doute que
la machine facilite le travail de l'Homme. Seulement, il arrive qu'après coup cette même machine lui
supprime son gagne-pain quand la logique capitaliste et les lois du marché basées sur la rentabilité
prennent le pas sur l'objectif premier visé à savoir : soulager l'Homme de tout effort physique. Cette
machine conséquemment, engendre au grand dam peut-être de son inventeur, des maladies sociales
comme le chômage, la précarité, la délinquance juvénile et sénile, la pauvreté etc. Dans un tout autre
domaine scientifique, celui de l'automobile, les voitures finissent par créer un taux de pollution très
élevé. Conçues pour faciliter les déplacements de l'Homme, elles sont responsables outre mesure de
nombreuses pertes en vies humaines. Elles imposent insidieusement à l'Homme et la société des
obligations auxquelles il est tenu de se plier après coup. Ces obligations sont variées et balaient
plusieurs secteurs d'activités : la construction de routes et d'infrastructures nécessaires à l'utilisation
de l'automobile, les feux, les caniveaux, les hôpitaux, les écoles (pour la formation du personnel au
service de la route et de l'automobile(ouvriers, techniciens, ingénieurs)), les gendarmes, les pompiers
etc. Bref, tout un arsenal dont on se rend très vite compte que l'Homme finit par devenir esclave de
sa propre création. Dans le domaine de l'aéronautique, les avions si grâce à leurs performances, on
peut aller d'un bout de la terre à un autre en l'espace de quelques temps, on ne peut occulter les
nuisances sonores qu'ils causent. On ne peut occulter de plus, la possibilité d'existence de risques,
liés à ces nuisances sonores. Et potentiellement, aussi infimes soient-ils, les risques liés aux effets de
la grande vitesse pouvant affecter le génome humain. Comme dirait l'Homme de la rue : si Dieu avait
voulu que l'Homme vole, il lui aurait donné des ailes. Nous adoptons encore la politique de
l'autruche face à cette forme de pollution dont on n'est pas maître pour le moment et, qu'on tolère
encore puisqu'elle a lieu à haute altitude, et ne nous affecte pas encore directement. Je me
contenterais de ne citer que ces quelques exemples et ne compte pas épiloguer sur la science et ses
limites. Je ne fustige pas l’invention de l’automobile, encore moins celle du nucléaire ou la recherche
sur la génétique etc. Je dis simplement que ce sont des produits imparfaits et non finis. Quels seront
les effets à long terme : des micro-ondes sur la santé de l'Homme ? De l’informatique qui se
substitue petit à petit à l'Homme ? Du téléphone cellulaire gadget apparemment inoffensif du 21ième
s ? Ou encore du simple fluor contenu dans la pâte dentifrice avec laquelle nous estimons assurer la
santé de nos dents au quotidien ? Quels sont les effets à long terme sur le génome humain, des
organismes génétiquement modifiés qu’on nous sert dans les supermarchés à notre insu ? On
pourrait très vite constituer un questionnaire sous fond éthique et de nécessité de bien commun au
nom duquel on pourrait soumettre la science sur des applications qu’elle croit maîtriser, qu'elle met
si souvent à notre service. Et pourtant qui, avec le temps montrent non seulement son incapacité à
maîtriser la situation après coup, mais surtout, ses limites vis à vis de ses inventions et de ses
découvertes. Je ne fais pas un procès d'intention à la science. Simplement, je veux dire qu'elle n'est
pas fiable. Tout comme cela est souligné dans la bible Esaïe 2 verset 22 Cessez de vous fier à
l'Homme dont la vie tient à un souffle : combien peut-on l'estimer ? Si la science veut apporter de
l'aide à l’Homme, il serait souhaitable, qu'elle se concentre sur des domaines qui lui sont utiles
comme la santé et laisse de côté des domaines comme l'armement dont la nécessité reste à prouver.
Nous ne vivons pas dans un monde fait que d'anges certes, mais si nous n'élevons pas notre
conscience au-dessus des considérations dignes du moyen-âge, l'humanité stagnera encore bien
longtemps à ce niveau de conscience. Nous pourrions vivre dans un monde d'Amour et non de
Suspicion.
En gardant sa politique actuelle, la science finira par scier la branche sur laquelle elle est assise.
Qu’elle maîtrise tout d’abord ses découvertes et arrête d'utiliser l'Homme comme le cobaye de ses
découvertes et qu'après coup, ce dernier, ne finisse comme l'otage des découvertes scientifiques.
De ce fait, qu’elle évite de prendre ses désirs pour la réalité. Tant que la science n’aura pas répondu
à certaines questions d'ordre éthique, elle devra alors éviter de modifier ce que Dieu a voulu parfait
sans s'assurer qu'elle maîtrise parfai

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