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LA SCIENCE POUR QUI ET POURQUOI?
Écrit le 10 juin 2000 par mouyabi
DELINQUANCE JUVENILE OU INCAPACITE POLITIQUE ?


Si on se réfère à la définition du dictionnaire usuel du Français des éditions Hachette, la délinquance juvénile serait l'ensemble des crimes et des délits considérés d'un point de vue statistique commis par les jeunes.
Qu’à cela ne tienne, si avant de nous appesantir sur le triste sort de ces jeunes et les affubler de tous les noms et les qualificatifs déshonorants, on se penchait tout d'abord sur les mobiles sous-jacents à la délinquance juvénile notre regard inquisiteur face à ce mal social, pourrait après coup devenir différent. Différent dans la mesure où on aura entre les mains plus de paramètres pour pouvoir établir leur responsabilité car c'est, de la responsabilité qu'il s'agit quand ces jeunes outrepassent les règles de nos sociétés.
Le premier grand constat, qui se dégage en observant sommairement les sociétés dites évoluées de cette fin de millénaire, nous amène indubitablement à réaliser qu'elles sont toutes victimes de diverses maladies sociales telles : la pédophilie, la prostitution, (la dépravation des mœurs en un mot dire), la recrudescence de la violence, l'augmentation de la pauvreté malgré l'abondance des richesses etc. pour ne citer que ces quelques exemples. La délinquance juvénile est entre autre, un des épineux problème(s) auxquels elles doivent toutes faire face. Les statistiques montrent malheureusement une corrélation entre l’immigration et cette forme de délinquance. Quelques exemples illustrateurs se passent de commentaires : la délinquance hispano-américaine dont les tristes acteurs sont des enfants de parents d’origine mexicaine ou des jeunes latino-américains contraints à l’immigration aux Etats-Unis pour fuir l'extrême pauvreté de leurs pays d'origine. La délinquance des populations noires ou Negro (conséquence de la déportation des populations Négro-africaines dans le cadre du honteux commerce triangulaire) ou, encore la délinquance cette fois avec le visage asiatique. Si ces réalités qui nous parviennent outre-mer à travers des films violents produits par la gigantesque industrie Hollywoodienne du cinéma contribuent à dénoncer la délinquance juvénile au pays de l'oncle Sam, le même mal est tout aussi bien, présent au-delà des frontières belges, chez le voisin français, britannique, néerlandais ou allemand, simplement ne changent que les acteurs.
Bien souvent sont considérés en Belgique ou dans les pays sus cités, comme jeunes délinquants des adolescents ou de jeunes adultes : Arabes, Turcs ou Noirs. Si l’opinion publique belge, allemande ou française en fait aujourd’hui des délinquants, elle semble oublier que ces populations ne sont venues en Europe tout d'abord que dans un esprit de solidarité : participer à la reconstruction de l'Europe après la deuxième guerre mondiale. Elles sont quelques fois venues porter main forte aux armées en difficultés face à l'ennemi d'hier devenu l'ami aujourd'hui. Très souvent nos volontaires immigrés étaient placés au devant des troupes pour servir de bouclier humain. A cet effet, on aura une pensée pour les tirailleurs sénégalaiset les Arkis. Ces populations ne se sont installées en Europe qu'à la demande exclusive des gouvernements qui avaient perdu dans la boucherie que fut la deuxième guerre mondiale, une bonne partie de leurs forces vives de la nation. Cette guerre comme bien des guerres ne trouve aucune raison suffisante que l’orgueil. Les gouvernements européens, généralement d'anciennes puissances colonisatrices, déplacèrent ces populations : noires, arabes, turque, guidées par un humanisme louable, en charter, par bateaux, pour servir la puissance colonisatrice, servir avant tout, la raison et les intérêts amis. Aujourd'hui, on assiste à une autre forme, d'immigration vers les pays occidentaux dits riches qui, par des accords signés lors des indépendances, ont donné un soupçon d'autonomie politique et qui malgré tout, ont gardé la main mise sur ces territoires les exploitent aujourd'hui de manière outrancière. Simplement ces pays sont dégagés de toutes responsabilités à l'égard de l'opinion publique internationale. Ces anciennes colonies se retrouvent aujourd'hui sous la botte des grosses multinationales comme ELF qui les spolient un peu plus chaque jour. Des multinationales qui sont guidées par leurs intérêts financiers, au grand mépris des populations à qui elles reversent, quand elles le veulent bien leurs propres dus, sous la forme d’aide ou d’aumône et ce, au compte-gouttes. Le déséquilibre planétaire Nord-Sud qui en résulte provoque un attrait compréhensible pour les jeunes des pays pauvres, contraints à immigrer vers les pays riches pour trouver un avenir meilleur. Alors derrière des raisons politiques ou autres, ils immigrent vers les pays riches sur les trains d’atterrissage d’avions, les soutes à bagages, sous de fausses identités, pour y passer des vacances et ne retournent jamais chez eux que lorsque la fortune qu’ils sont venus chercher dans cet eldorado est en poche etc. Ils vont très vite se rendre compte qu’il n’y a pas de place pour eux dans ces sociétés : si oui pour des boulots de force qui ne nécessitent aucune qualification. Lassés quelques fois pour les plus courageux de l’exploitation abusive du patronat, ils courront augmenter le nombre de jeunes délinquants déjà présents. En espérant trouver dans des voies d'enrichissement rapide, facile et illicite, le salut derrière lequel ils courent sans arrêt. Tout compte fait la vraie raison de cette forme d'immigration est, et reste économique.
Le cas particulier de jeunes délinquants, descendants d'immigrés nés en Belgique ou en France etc. et qui trouvent bien souvent disgrâce auprès des populations autochtones ou devenues autochtones est un cas intéressant. (On pourrait se demander à cet effet : à partir de quel moment peut-on s’estimer autochtone, étant nous-mêmes immigrés simplement dans un passé plus ou moins lointain). Cette population d'immigrés semble être un cas pertinent dans la mesure où tout dépend du regard que nous portons sur elle. Si on se met à la place de ces jeunes, au lieu d'avoir un regard suspicieux à leur égard, on comprendrait très aisément l'attitude qui est la leur et le pourquoi de leurs agissements. Les statistiques montrent qu'ils sont les premiers au palmarès de la bêtise, quand on établit le triste bilan sur la délinquance juvénile en Belgique ou ailleurs. Qu'est-ce qui explique cet état de choses ? Telle est la question que nous devons nous poser avant de leur jeter la pierre. Une première explication peut être liée à leur identité. En effet, ces jeunes gens sont bien souvent ballottés entre deux cultures : celle de leurs parents et celle de leur terre d’accueil. Par rapport à leur pays d'origine, ils ne sont que des enfants nés à l'étranger et donc de ce fait acculturés.
Pris dans le contexte de leur pays d'adoption, ils ne sont que de sales immigrés, un poids dont les politiciens se déchargeraient bien volontiers. Ainsi donc, ces jeu

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