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LA TORTURE
Écrit le 29 nov 2000 par rotella












Ils craignent la mort.

















Votre remords est tardif mon général.

























Vous colonel, vous méritiez cent fois la mort.







Le destin a eu raison de votre œil, la mort aura raison de votre morgue.

J’ai servi sous vos ordres et j’ai chèrement payé d’avoir oser dire non !

Vous n’osiez pas vous salir les mains et vous donniez votre basse besogne à des sous officiers peu scrupuleux. Je n’étais pas de ceux là lorsqu’il s’agissait de neutraliser la cible en la jetant au fond d’un puits.

Je n’étais pas non plus de ceux qui tournaient sadiquement la roue de la gégène.

Ce principe déshonorant pour l’être humain ne faisait pas partie de la morale chrétienne que j’ai reçue.

C’est en voyant et observant votre cynisme et votre hypocrisie dans les églises que j’ai renoncé à être chrétien.

C’est aussi lors du voyage du général de Gaulle à Cassaigne que j’ai compris vos fourberies.

Vous avez toléré qu’on assassine deux soldats réguliers de l’Armée française. Ceci est encore plus grave que vos aveux tardifs.

Ils servaient loyalement l’armée française et si, ils avaient commis une erreur de parcours; il fallait les juger devant un tribunal réglementaire. Les faire assassiner sur la plage de Bosquet et un crime commandité.

J’ai payé le prix exagérément fort pour ne pas avoir admis qu’on les assassine au petit matin.

Les sous - officiers souillés du sang innocent, sont devenus des officiers. Ils se reconnaîtront sûrement dans ce récit macabre.

L’un des deux a sur la conscience la vie d’un enfant et celle d’un boulanger qui partait faire le pain.

J’ai relaté ces faits, comme ceux qui ont péri au fond d’un puits. C'était, je me souviens prés de la ferme du conte des Durs. Après le long calvaire de l'interrogatoire que lui a fait subir le maréchal des logis C... La corvée de bois c'était cela! Aujourd’hui se cachant comme un lâche avec une retraite d'officier. Comme beaucoup de ces fiers a bras qui ne sont plus que des loches !

Le Lieutenant M... A qui je rends un profond hommage ici était mon chef à la ferme romanet !

Le lieutenant qui commanda l'exécution était un nommé black-out. Il a été aussi mon patron. Comme cet assassin sans testicule qui commandait des sas et qui ne pouvait pas assister à l’exécution sommaire et l’inhumation rapide au fond d’un puits !

Ce sont ces officiers là qui avaient en mains les rênes de l’armée. Comme ont été entre les mains des SS les officiers de la wermacht qui n’ont pas démérité !

Oui je vous accuse d’assassinat sur soldat portant l’uniforme de l’armée française. Je n’ai pas moi le remords d’avoir obéi a vos ordres. Le seul remord c’est celui de ne pas avoir été jusqu’au bout pour dénoncer votre barbarie.

Vous m’aviez promis de leur laisser la vie sauve quand vous m’avez chargé de les récupérer. Vous aviez peur et vous saviez que l’un des deux était sous mes ordres. C’était à Bosquet, vous en souvenez-vous Aussesseres SS?

Quelques jours après ce fut le blocus de Bosquet. Le même avait eut lieu à Relizane pour attraper le colonel AMIROUCHE. Un autre général se souvient de ses turpitudes qui lui faisaient gagner rapidement les rangs qu’il avait été incapable de conquérir à l’école de guerre.

J’ai et je conserve beaucoup d’admiration et d’estime pour ces officiers qui ont été limpides dans les passages douloureux que l’armée francise a traversé. Ils n’ont rien à voir avec les séides qui s’étaient appropriés l’outil du peuple.

J’ai en partie tout relaté dans ma modeste littérature. Tous Les faits qui m’ont paru ragoûtant pour l’espèce humaine y sont en partie couchés.

Vous pourrez parcourir un jour sur cet outil qu’est le web tout ce que j’ai pu connaître. Les coups fourrés auxquels je n’ai pas voulu participer. Je ne me suis jamais servi de l'engrais humain pour faire croître mon avancement. C’est pourtant une forme de chantage qui est à l’origine de nombreux avancements qui aujourd’hui sont gênants. Ils étaient hier les mains sanguinolentes d’un pouvoir qui se disait socialiste et qui avait en son sein la plus fine crapule depuis Thiers. Certes cette crapule deviendra l’illustre socialiste de tous les temps. Il était au courant par cette autre crapule qui fut sa protégée à l’ambassade de Moscou. Elle y était affectée comme attachée militaire. Les pds existent depuis longtemps.

L’histoire est comme le bruit d’une cloche en bronze qui est fêlée. Elle n’a plus le son que lui avait donné son créateur.

Si j’avais le choix entre deux généraux, je choisirais Massu qui bien que j’aie pu l’approcher de très prés à Châtel Guyon Il effectuait une cure. Il se souviendra sûrement de l’hôtel. Le Splendide et de son footing matinal sur la montagnette qui domine un hôtel célèbre. Cet hôtel que l’on désigne sous le vocable local de grand. - Il hébergea l’Etat major allemand à l’époque ou le gouvernement de la France était à Vichy -. Le général se débarbouilla ce matin là, avec une bombe anti - rouille; Peu de commentaires furent faits sur cette affaire.

Alfred terminera là son exposé sans avoir l’acide sulfurique, le vitriole qu’il reçut de la part de ces criminels haut en couleur.

Il est rassuré par ce que ce général borgne a affirmé avec le courage d’un futur mort qu’il relatait avec délectation tous ses crimes. Il dit posséder toutes les archives, plaise à dieu de s’en saisir au dernier jugement.

Le service des pensions de la Rochelle doit lui aussi avoir ses archives pour témoigner. Comme les services particuliers de l’époque qui sévissaient à Versailles, Le colonel Lagrange doit se souvenir d’Alfred. D’autres encore qui ont rejoint le bataillon des gens du néant sauront me reconnaître quand l’heure sonnera pour moi.

Ils ont fait beaucoup, beaucoup de mal à Alfred le dire et peu de chose. Or, Alfred sait que toutes les mesquineries se paient un jour ou l’autre. C’est pour lui beaucoup plus rassurant que d’avoir une masse sur la conscience que seule la mort peut enlever.

Alfred en a plein son cœur de choses vraies qu’il peut raconter sans qu’il soit recours à des feuillets d’archives. La facture de ce qu’il a payé était détaillée, il s’en souvient.

Le dernier constat d’Alfred est : ils sont dignes de servir dans l’armée israélienne.

A demain si Dieu et diable permettent que ce feuilleton continu.

André. Rotella

Lire aussi les modestes essais. http://andrefernandez.free.fr









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